Le fond :
Pan
! Boum ! Argh... outch !
La forme :
Des cadrages sans grands talents. Une
mise en scène indigente. De l'after effect à la truelle. On aurait
voulu se rattraper sur la bande son, mais les musiciens étaient
aussi expendable.
Le reste :
Le décor se plante rapidement, le film
aussi. Stallone et ses rombières attaquent une ville au milieu du
désert. Là, ils utilisent une moto plutôt que la mitrailleuse
lourde d'à côté pour faire exploser un hélicoptère (c'est plus
pratique), avant de s'enfuir... dans la jungle.
Oui. Expendable 2 est un navet comme on
aime. Plein d'erreurs de scénario, de deux ex machina improbables et
surtout d'actions que 2s de réflexion auraient rendu moins stupides
(ex : forcer comme des ânes pour tenir une porte au lieu d'y mettre
une cale).
Cependant, loin d'être un spectacle
permettant à nos neurones survivants un repos bien mérité après
une journée harassante, cette suite n'a que peut profité de son
ancêtre. Le mojo est resté sur l'étagère.
Le film est comme ses principaux
acteurs, un peu mou, sans souffle, ni imagination ; On les voit bien
pourtant, à se pousser du coude, qu'ils voudraient y croire...
mais... mais non. Malgré toutes les explosions, il n'y a aucune
action d'éclat. Le petit truc en plus qui donne la saveur à un vrai
bon navet.
Noyé dans l'hémoglobine de synthèse
le fun agonise dans un suspens ichorien pour terminer sur un twist
inimaginable : Stallone ne se fait pas la gonzesse ! (Franchement, ça
sert à quoi qu'il écrive le scénario ?)
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